Film (Pasolini) :
« Il y a
une énigme dans ta vie » Le sphinx qui parle a Œdipe juste avant que
ce dernier ne le tue, pour ne pas entendre.
« Tu es né
pour prendre ma place dans ce monde me rejeter dans le néant me voler ce qui
m'appartient. C'est elle que tu me volera en premier. Elle, la femme que
j'aime. D'ailleurs tu me voles déjà son amour » Laïos a Œdipe étant
bébé après avec était tenue au courant du destin du bébé.
« La vie
s’achève la ou elle a commencer » Œdipe à Angelo lorsque les deux se trouve dans le
champs ou Œdipe était bébé avec la mère.
« Parce
que, aveugle et mendiant, il sera obliger de quitter Thèbes et deviendra tout
comme moi joueur de flute » Tyresias à Œdipe , cela nous prédit
énormément le reste du film.
Livre (Sophocle) :
« Je n’ai pas l’habitude de parler
contre ma pensée » Créon
«J’abandonnais
ma vie à des malheurs certains » Œdipe
«Comment retrouver à cette heure la
trace incertaine d’un crime si vieux » Œdipe
«Ne prétends donc pas triompher
toujours : les triomphes n’ont pas accompagné ta vie » Créon
« Nous nous inquiétons à voir Œdipe
en désarroi, alors qu’il tient entre ses mains la barre de notre
vaisseau » Jocaste
Entretien (Critiques d’auteurs):
« Elle est d’abord et avant tout
«pasolinienne » en ce sens que le héros mythique se réincarne, mutatis
mutandis, dans le film, en un personnage qui symbolise aux yeux du réalisateur
l’homme moderne avec ses complexes, ses angoisses et ses déchirements » Jean de
BARONCELLI, Le monde, 5 septembre 1967
«Pasolini s’est
bien gardé des facilités du modernisme » Pierre BILLARD, L’express,
lundi 14 octobre 1968
«Grâce à
l’irréalisme rêveur du prologue et de l’épilogue contemporains, et au réalisme
primitif de la légende, Pasolini diminue la distance qui sépare les époques, et
qui distingue légende et réalité réalisme et symbolisme » Jean-Louis
BORY, Le nouvel Observateur n°205
« Pasolini s’est contenté de ne
renfermer sa parenthèse qu’à la fin du film, par un épilogue situé de nos
jours » Henry CHAPIER, Combat, 10 octobre 10968
« Il a voulu
montrer l'homme aux prises avec les tabous de la société. » Rober
CHAZAL, France Soir, 10 octobre 1968
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire