samedi 17 décembre 2016

Le sacré est de définition quelque chose qui appartient au domaine séparé, intangible et inviolable du religieux et qui inspirer crainte et respect, et il s’oppose au profane, il désigne ce qui est inaccessible.
Dans les œuvres de Sophocle et Pasolini nous retrouvons le sacré proche de tous. En effet tout ce qui ce passe est lié au sacré. Mais nous trouvons une dualité entre la modernité chez dans le film et de Pasolini et les temps anciens chez Sophocle.
Nous pouvons donc nous demander si dans les deux œuvres le sacré peut être dissocier du religieux.

Dans la tragédie grecque antique le sacré était très représenté, les dieux étaient mis en avant, mais il fallait séparer le sacré  et la profane.
Chez Sophocle le sacré n’est pas dissociable de la religion.
En effet dans son œuvre il faut renoncer à comprendre les dieux. La parole divine est toujours puissante dans l’épisode 2 Œdipe ce confie a Jocaste sur sa visite chez l’oracle, est la prédiction de son avenir de plus Tirésias lors de sa dispute avec Œdipe refuse de dévoiler ce qu’il sais sous prétexte que les dieux ce feront entendre en temps voulu.
Les dieux ont une place très importante dans la tragédie grecque, mais dans Œdipe roi, Œdipe et Jocaste ne s’abstiennent pas, car sans le vouloir ils vont faire un inceste.
Dans l’épisode 2 Jocaste conteste les oracles et doute de la puissance des dieux. Œdipe loi aussi doute tout come Jocaste quand le Corinthien lui annonce la mort de Polybe. Chez Sophocle de plus le chœur est présent  c’est un ensembles de personnages. 
Dans le stasimon 1 le chœur refuse de répondre au dilemme car cela pourrait remettre en cause les dieux ce qui montre le fait de Sophocle veuille montrer qu’il n’est pas concevable de s’opposer aux dieux.

Chez Pasolini, la représentation du sacrée est dégradée. Tout d’abord le chœur est remplacé par les chants. Il y aussi la désacralisation de l’oracle de Delphes, en effet chez Sophocle l’oracle mâche des feuilles de laurier (la feuille de laurier qui signifie chez les romains les héros, est ceux qui accomplissent un acte notoire) mais il se gave tel un sauvage.
Et Pasolini y a rajouté un rire malicieux qui rappelle les méchants dans les films. Le sphinx est originellement envoyé par les dieux, donc lorsque Œdipe le repousse et le tue c’est comme si il défiait les dieux, comme pour remettre en question la religion.
Le personnage de Tirésias n’est plus considère comme un prête mais come un aveugle musiciens qui a les réponses au question d’ Œdipe presque comme un serviteur , il n’y a plus cette notion religieuse que nous retrouvons chez Sophocle. 
Dans le film de Pasolini nous retrouvons une dimension sacrale que nous ne trouvons pas chez Sophocle.  Et pour fini Pasolini avec ses nombreux décor et costumes, donne une importance a tous ces matériaux, on trouve une certaine sacralité a tous les costumes, les mouvement de caméra accompagné de musique africaine, et chinoises.

Pour conclure même si nous pouvons dire que le sacré est dissociable du religieux, cela ne veut pas dire qu’il n’en est pas le fondement. Car en effet dans la tragédie de Sophocle le religieux et le sacré ne sont pas dissociables, chez Pasolini on découvre un aspect des deux.

Guillabert Réhana



1 commentaire:

  1. Vous avez traité la question, et vous avez développé des exemples pour chacune des oeuvres. Toutefois, il aurait fallu davantage confronter les deux oeuvres.

    Attention surtout à l'orthographe et à la construction des phrases (ponctuez vos phrases).

    Poursuivez vos efforts !

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