Si la pièce prend la forme d'un tribunal, je propose que chaque élève lise son propre extrait. Par exemple, lorsque je pose la question à la classe de TL dans le blog: (allégorie de l'homme, si Oedipe est coupable alors vous l'êtes aussi) êtes-vous coupables? je pourrais briser le 4ème mur et m'adresser cette fois-ci directement au public. Le tribunal change d'accusé. Les spectateurs sont entrés pour se faire juger ( on inverse le processus cathartique en espérant les mêmes résultats?).
Autrement, les textes pourraient faire partie du paysage sonore. On les insèrerait dans la bande-son et on pourrait les exploiter pour créer des effets ( canon, répétitions, superpositions).
Pasolini oeuvre pour un cinéma de poésie, nous pourrions faire une pièce de poétique tout en incluant une dimension réflexive.
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