jeudi 6 avril 2017

Les Personnages Féminins Dans l'Oeuvre


La présence des femmes est minime dans le roman les faux monnayeurs. En effet, André Gide laisse place à l’homosexualité ce qui explique la présence majeur des personnages masculins. Malgré leurs rôles secondaires, les femmes ont tout de même une importance dans le roman, elles jouent des rôles majeurs dans le destin des hommes.  

  • Les personnages comme Laura et Lady Griffith ont une place + important et ont une personnalité vraisemblable, belle forme humaine. Mme. de la Pérouse et Mme. Sophroniska sont des caricatures ironiques de caractéristique dont  Gide voulais se moquer.
  • Sarah Vedel, jeune fille résolue à conquérir sa liberté, à tout oser, elle est exaspérée par la contrainte familiale qu’elle ressent. Femme intelligente, elle veut s’instruire dans tout ce qu’elle fait.
  • Rachel Vedel, femme aveugle et prend soin de toutes les responsabilités de sa famille, femme de vertu qui s’efface comme le dit Edouard.
  • Les deux mères de famille n’ont rien qui les distinctes : Pauline Molinier, grande générosité, compréhension des besoins d’autrui, indulgente mais faible ; Marguerite Profitendieu, effort pour d’affirmer face à l’exigence de son mari, ne vois pas le besoin de liberté.
  • Mme. de la Pérouse amusante même dans sa méchanceté, elle devient folle (personnage indirect, elle n’est que cité par le vieux de la Pérouse). Elle se croit martyre à souffrir de la présence de son mari, égoïsme incarné vieille harpie par excellence.
  • Mme. Sophroniska a de bonnes intentions. Elle représente le faux mysticisme, elle pense que tout ce qui n’est créé que par la seule intelligence est faux. En agissant comme si le bien devait toujours triompher du mal, elle perd deux enfants dans leurs inclinations.
  • Laura Douviers occupe une grande place dans le roman, bonne femme. Elle n’est pas sans vertu mais compte sur l’effet des événements que sur elle-même. Pas beaucoup de force surtout quand elle est dépourvue des convenances qui lui donnaient un sorte stabilité (rompu avec la moralité traditionnelle de sa société)
  • Lady Griffith, côté aventureux, la plus méchante et la plus aimable de l’œuvre. Très intelligente, manipulatrice, veut toujours plus d’aventure.

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